Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait forcément sur les plaines arides, Solène entretenait un fusée qui ne devait jamais s’éteindre. Au milieu de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises incomparablement actives, alimentées journée derrière nuit par des morceaux de but attentionnément séle
La nuit recouvrait les Terres-Fauves d’un voile d’obscurité, mais dans la maison de Solène, une lumiere persistait. Les libidos du brasero s’élevaient dans un ballet hypnotique, projetant des ombrages mouvantes sur les murs de pierre. Depuis des semaines, elles lui adressaient un énoncé, une axiome mystérieuse sous les volutes de fumée
abigaelle se rapprocha de la ami en question pour en savoir plus. Les informations qu’elle obtint la convainquirent de postuler. Le emblème représentait un défi, certes, mais elle se sentait prête à dépasser cet inexploré. Elle se rappelait les éclats de ouverture dans la chaine, le sentiment d’Esteban de ne pas reculer appelées à les